Sigmaringer Str. 23 | 10713 Berli

Sigmaringer Str. 23 | 10713 Berli

RICHARD VAN DER AA | façade

Paris | 4.11. - 9.12.2017

Vernissage le 4.11.2017 de 18h à 21h. 

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CARSTEN SIEVERS | CIDÁLIA SOARES

Paris | 9.9. - 21.10.2017

Preview le 9.9. de 14h à 21h | Vernissage le 16.9. de 18h à 21h. 

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MYRIAM EL HAÏK | Into the Loop

Paris | vitrine d’été 2017

Vernissage le 8.7.2017 de 18h à 21h. 

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PIERRE SPORTOLARO | Origine X

Paris | 20.5. - 17.6.2017

Vernissage le 20.5. de 18h à 21h. 

JACOB REYMOND | Cage 4’33 (et d’autre partitions)

Paris | 15.4. - 13.5.2017

Depuis plusieurs années une ligne importante de la programmation de la galerie Vincenz Sala se situe dans l’exploration des liens qui existent entre l’écriture, la notation musicale, le dessin et la performance. Les expositions de groupe « De l’écriture de l’écriture » (en Mars 2015) et «Notation» (en Mai 2016) ainsi que les expositions personnelles et les performances de Myriam El Haïk (en 2011, 2012, 2014 et 2016), d’Anne-Flore Cabanis (en 2013), de Natalia Jaime-Cortez (en 2013, 2015, 2016), de Marc Rossignol (en 2013 et 2015) et de Jean-Christophe Norman (2015) en ont été à ce titre l’illustration.

Loin d’avoir épuisé le sujet, la galerie présente à partir du 15 avril Jacob Reymond (qui avait déjà participé à l’exposition « Notation »), avec une exposition personelle sous le titre « Cage 4’33 (et d’autres partitions)». Pour characteriser l’espace particulier qu’occupe le travail de Jacob Reymond entre musique et art plastique, le musicologue Jacques Amblard écrit dans son essai «Jacob plasti(musi)cien» consacré exclusivement à l’artiste: « … le caractère personnel n’est pas dans le décodage du temps, qui reste potentiellement l’universel -de gauche à droite et de haut en bas. Ce que perd Jacob en personnalité du code temporel, il le gagne en évidence du décodage. Or, ce décodage est celui d’une nouvelle (et là est le caractère personnel) révélation de l’interface musique/peinture (et non plus seulement musique/couleur).»

Vernissage le 15.4. de 18h à 21h. 

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KÄTHE KRUSE | cuir, cheveux et photographie

Paris | 28.1. - 18.3.2017

Vernissage le 28.1. de 18h à 21h. 

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ULLA HAHN, HENDRIK KRAWEN

mehr und mehr und mehr und mehr

Berlin | 11.2. - 18.3.2017 

Opening 11.2. from 7 pm. 

MARC ROSSIGNOL | Point de retour sans aller 

Paris | 3.12.2016 - 7.1.2017

Vernissage le 15.10.2016 de 18h à 21h. 

AXEL LIEBER | Teil und Ganzes 

Berlin | 5.11. - 3.12.2016

Opening 5.11.2016 from 7 pm.

MYRIAM EL HAÏK | A B C E

Paris | 15.10. - 19.11.2016

Dans l’exposition A B C E conçue à partir de sa pièce musicale Toy Toy!, Myriam El Haïk expérimente le caractère infini de la répétition et interroge, à travers celui-ci, la dimension du jeu dans le processus de création.

Toy Toy ! a d’abord été écrite pour 2 toy pianos (pianos jouets) - une pièce semi-ouverte construite à partir d’un motif au rythme simple formé de quatre notes - A, B, C, E ou LA, SI, DO, MI. Inspirée par un rythme pratiqué dans les cérémonies festives marocaines traditionnelles, la pièce s'inscrit dans l’esthétique minimaliste répétitive de la musique contemporaine.

Ce jeu avec le motif ABCE se retrouve au fil de l'exposition.A la fois ludique et pédagogique, A B C E est une proposition pour un art de vivre.

Vernissage le 15.10.2016 de 18h à 21h. 

RAINER BELLENBAUM et CHRISTINE WEBER | Alte Meister 

Berlin | 15.10. - 29.10.2016

Opening 15.10.2016 from 7 pm.

KNUT ECKSTEIN | Habiter le pli de la vague

Paris | 2.7. - 17.9.2016

Intitulée « Habiter le pli de la vague » en référence au célèbre cours du philosophe Gilles Deleuze, l’exposition introduit la question du mouvement au sein de la création artistique comme la possibilité de transcender l’espace temps. Mouvement d’enroulement / déroulement à partir duquel Knut Eckstein, à l’image du surfeur, conçoit sa pratique artistique comme étant en perpétuel renouvellement, en perpétuel devenir. 

Les installations faites à partir de matériaux divers (bambou, cartons, rubans adhésifs, lattes de bois) présentent une complexité et une fragilité qui interrogent l’ambivalence de nos perceptions. 

Vernissage le 2.7.2016 de 18h à 21h. 

NOTATION | exposition collective

Paris | 21.5. - 18.6.2016

avec Oliver Augst, Myriam El Haïk, Sven-Åke Johansson, Damien Marchal et Jacob Reymond

Depuis plusieurs années une ligne importante de la programmation de la galerie Vincenz Sala se situe dans l’exploration des liens qui existent entre l’écriture, le dessin et la performance. L’exposition de groupe « De l’écriture de l’écriture » présentée par Klaus Speidel ainsi que les expositions personnelles de Myriam El Haïk et de Jean-Christophe Norman en ont été à ce titre l’illustration. 

Loin d’avoir épuisé le sujet il nous est apparu intéressant et en effet nécessaire de passer de l’écriture des lettres, des mots et des phrases à l’écriture de la musique, à la notation. La notation musicale se situe dans un champ de référence bien différent et plus complexe mais notre intérêt est toujours d’explorer les liens entre cette autre écriture, le dessin et la performance. L’exposition de groupe « Notation » est une première tentative. Elle rassemble les travaux de cinq artistes qui de façon très variées mettent en évidence le jeu entre la discipline d’écriture, la liberté d’invention mais aussi la liberté de lecture et d’interprétation auquel la notation musicale peut donner lieu.

Vernissage le 21.5. de 18h à 21h. 

JEAN-CHRISTOPHE NORMAN | We’re still not returned

Paris | 19.3. - 30.4.2016

Vernissage le 19.3. de 18h à 21h. 

NATALIA JAIME-CORTEZ | Pan

Paris | 30.1. - 27.2.2016

Vernissage le 30.1. de 18h à 21h. 

EDOUARD BOYER | Cover

Paris | 12.12.2015 - 9.1.2016

Vernissage le 12.12. de 18h à 21h. 

PETER WÜTHRICH | Peter Wüthrich & friends

Paris | 7.11. - 5.12.2015

Vernissage le 7.11. de 18h à 21h.

MINIMAL EXTENSIONS | sixties versus contemporary

Paris | 10.9. - 25.10.2015

avec Getulio Alviani, William Anastasi, Gary Kuehn, Charlotte Posenenske, Peter Roehr, Remy Zaugg versus Georg Herold, Gregor Schneider, Jochem Hendricks, Myriam El Haïk, Jean-Christophe Norman, Pierre Sportolaro, Axel Lieber, Barbara Steppe

Dans le programme de la galerie le minimalisme des années 60 est une référence incontournable et récurrente. D’ou l’intérêt de confronter dans cette exposition collective deux générations d’artistes. Il s’agit d’explorer les correspondances et les tensions entre des oeuvres représentatives des avant-gardes des années soixante et des oeuvres plus récents entre autre des artistes clés de la galerie. Ce caractère historique donnera la possibilité de porter un nouveau regard sur les ruptures formelles opérées durant les années soixante et, dans le même temps, de découvrir comment elles continuent à marquer fortement la production artistique d’aujourd’hui.

Vernissage le 10.9. de 18h à 21h

PIERRE SPORTOLARO | ça pourrait être moi

Paris | 30.5. - 20.6.2015

Le travail de Pierre Sportolaro pose obsessionnellement, et à travers des séries toujours en cours, des questions sur le temps, le voyage et les métamorphoses. Des thèmes qui par amalgame, récurrence et recoupement permanent élaborent notamment une quête identitaire que révèle l’intitulé de l’exposition:ça pourrait être moi.

Une identité qui se perd dans le temps et dans l’espace social, qui se déplace, qui s’efface dans le souvenir pour renaitre sous d’autres traits. D’où cette dimension de la trace présente dans cette série de travaux. Réalisés avec une économie de moyens, ils ont valeur d’indices qui dessinent une sorte de portrait dispersé de l’artiste dont est absente toute affirmation de soi voire une affirmation fragile, fragmentée, tourmentée lorsqu’elle tente de se cristalliser. Une conception de l’identité proche de la formule rimbaldienne «Je est un autre».

Vernissage le 25.4. de 18h à 21h. 

TOM FRÜCHTL |reverb

Berlin | 20.6. - 11.7. 2015

Opening 20.6. from 7pm. 

ISIDORE HIBOU |National Monuments

Berlin | 9. 5. - 30.5. 2015

Pour l’exposition National Monuments, Isidore Hibou a imaginé une série de photographies comme les reliques d’un ordinaire qu’on vit et qu’on ne voit plus. Le quotidien de la télé en veille, du dentifrice mal rebouché sur le rebord d’un lavabo, un détail qui fait sens, mais qu’on méprise un peu. De toute évidence, avant aujourd’hui, les événements ont toujours eu lieu ; on ne sait plus précisément lesquels.

Il y a certainement quelque chose de l’histoire : individuelle, collective, et forcément les deux. Il reste encore des rires derrière le papier tue-mouches ou le sac de litière, ou bien s’agit-il de drames. Mais le solennel cache toujours son visage. Quelque chose, en nous touchant, nous échappe invariablement. Il s’agit là de diasporas, de petits et grands départs, d’une certaine mise en scène du hasard. Elles font s’interroger, sourire, s’émouvoir : c’est l’affaire de tous, et les mues intimes d’une mémoire commune. C’est l’histoire d’un voisin, d’un vieil oncle, ou sa propre histoire... Toutes dépouillées qu’elles sont, il y a du monument dans ces images.

Leur origine elle-même (une sélection de photos extraites d’annonces immobilières) est une certaine fouille archéologique du présent. Mais les délimitations sont floues : l’absence n’est toujours qu’un moment tributaire d’une présence (passée ou à venir).

NATHALIE VAN DOXELL | O Ring

Paris | 25.4. - 23.5.2015

Le travail de Nathalie van Doxell se fonde sur la réappropriation de faits de société ayant une dimension sociale, politique ou historique. Elle photographie des lieux et des objets de manière à faire exister autrement les événements, avec la volonté de créer un espace visuel narratif hors du temps médiatique. Les clichés réalisés ne comportent en effet aucune légende, afin de produire une contre-fiction du sensationnel. Leur dépouillement et leur sobriété nous invitent dans un espace où l’imaginaire personnel du spectateur peut se glisser.


Vernissage le 25.4. de 18h à 21h. 

De l’écriture de l’écriture | une proposition de Klaus Speidel

Paris | 21.3. - 18.4.2015

avec Lina Ben Rejeb, Jean-Michel Espitallier, Myriam El Haïk, Jean-Christophe Norman, Igor Sacharow-Ross, Chiara Zocchi


écriture n. f.

1. Représentation de la parole et de la pensée au moyen de signes graphiques.

2. Acte d'écrire des textes, des œuvres.


L’action d'écrire a-t-elle un sens indépendamment du contenu produit ? Une signification qui apparaîtrait dans la ligne écrite elle-même ? Les artistes et poètes de l'exposition mettent en tension la signification lexicale des mots et le fait même de l’écriture.


Vernissage le 21.3. de 18h à 21h.

BARBARA STEPPE | Hier, ce soir

Paris | 17.1.2015 - 21.2.2015

L’installation intitulée Routine II est emblématique du travail de cette artiste berlinoise qui repose sur une analyse de la vie quotidienne d’individus. Pour cela, elle explore le thème de l’écoulement du temps, de ce qui se répète ou de ce qui perturbe cette “routine”.

Tout l’enjeu de l’installation est de rendre compte des différents aspects qui ponctuent le temps.

La mise en place de ce projet a comporté trois phases. Tout d’abord, Barbara Steppe a demandé à vingt personnes du monde de l’art de se rappeler une journée de travail du mois de novembre 2013, en respectant un protocole précis: mentionner toutes leurs activités, l’heure exacte et la durée de la tâche pendant 24 heures.

Dans la seconde phase, ces “emplois du temps” ont été lus par les auteurs respectifs et enregistrés en studio. Enfin ces enregistrements ont été segmentés et rassemblés pour correspondre au temps imparti dans le protocole, 48 mn.

Vernissage le 21.3. de 18h à 21h.

FRANCIS ZEISCHEGG | targets

Berlin | 6.12.2014 - 3.1.2015

Opening 6 December at 7 pm.

KNUT ECKSTEIN | vitrine d’hiver

Paris| 20.12.2014 - 10.1.2015

Vernissage le 20.12. de 18h à 21h

La galerie Vincenz Sala présente du 30 octobre au 29 novembre divers travaux d’Axel Lieber; sculptures, installations, collages qui permettent de donner une vue d’ensemble de la démarche de cet artiste. Celle-ci repose sur des modes opératoires tels que l’objet trouvé, l’assemblage, le montage d’images, le détournement ironique.

A l’aide de matériaux et d’objets ordinaires, tissus, briques de Lego, rouleaux de papier, vêtement qu’il retravaille, Axel Lieber construit des univers fictifs proches des contes d’enfance à la lisière du merveilleux et de l’inquiétant.

Transposés dans de minutieux dispositifs, ces objets choisis pour leur extrême banalité, représentatifs d’un « univers en sommeil » semblent sortir soudain de leur léthargie.

En les libérant de leur fonction, Axel Lieber confère à ces objets une présence étrange qui perturbe notre perception du réel.

Vernissage le 30.10. de 18h à 21h.

AXEL LIEBER | Night on Earth 

Paris | 30.10. - 29.11.2014



ALBERTO SORBELLI | fleurs

Paris |11.09. - 26.10.2014

Après une série d’expositions consacrées au dessin contemporain qui ont permis de mettre en exergue le lien paradigmatique entre cette pratique et la performance, la galerie Vincenz Sala présente un ensemble de dessins d’Alberto Sorbelli.Depuis de longues années cet artiste développe une oeuvre qui repose également sur cette dualité.

L’exposition fera une large place aux troublants dessins de fleurs, fleurs-animal, fleurs sexuées. Dans cette série récente de dessins montrés pour la première fois, Alberto Sorbelli s’empare avec audace de ce motif qui a constitué pour les artistes depuis toujours, cette « vision première essayée dans la fleur » évoquée par Odilon Redon.

Vernissage le 11.9. de 18h à 21h.

MYRIAM EL HAIK | Time lines

Berlin | 27.9. - 25.10. 2014

Opening 27.9. from 7 pm 

ULLA HAHN | terry. pamela. rodin und andere

Berlin | 30.8. - 20.9. 2014

Opening 30.8. from 7 pm 

LUCIA KEMPKES | Mindscape Univers

Paris | 19.07. - 05.09.2014


Pour le deuxième volet de sa Vitrine d’été la galerie Vincenz Sala accueille Lucia Kempkes avec un projet qui se situe dans le prolongement d’un cycle de travail de l’artiste mené en 2013 autour de dessins cousus et de vidéos. Intitulé « Mindscape Universe », ce projet est centré sur la question de notre perception spatiale. Comment se repère-t-on ? Est-il encore possible de se situer seulement par la localisation de son propre corps alors que l’on Skype avec une personne qui se trouve dans une autre partie du monde ?


Le concept de « Mindscape Universe » tente de répondre à ces questions en dessinant les contours d’un paysage mental par le biais de l’imagination articulée à la présence physique dans un lieu donné. Lucia Kempkes le définit ainsi : « Mindscape Universe est un mode de perception ouverte de l’intérieur vers l’extérieur – Réflexion/Projection ». Son projet repose donc sur l’interaction et le partage de l’expérience créatrice. La galerie sera transformée en véritable base expérimentale. Chaque jour, le visiteur sera invité à participer à une nouvelle expérience.


Vernissage le 19.7. de 18h à 21h. 

CLOVIS NASDAQ |the chief

Paris | 28.6. - 12.7.2014

L’exposition de Clovis Nasdaq, articulée autour d’un thème générique, the Chief, sera composée de dessins, d’une installation et d’une performance. L’artiste occupera la totalité de l’espace de la galerie. 

Vernissage le 28.6.2014 de 18h à 21h.

IL ETAIT UNE FOIS ...|exposition collective

Paris | 17.5. - 21.6.2014

avec des photographies de Isidore Hibou, Tilo Riedel, Christiane Seiffert, Alberto Sorbelli, Pierre Sportolaro, Nathalie van Doxell. 

Vernissage le 17.05.2014 de 18h à 21h.

MARTIN PFAHLER |imprinting

Berlin | 10.5. - 7.6.2014

Opening 10.5. from 7pm.

Pascale Clark |6 am bonjour

Paris | 12.4. - 10.5.2014

Chaque jour, depuis le taxi qui la conduit à son travail, Pascale Clark, journaliste, fait une série dephozographies avec son téléphone portable. Une fois à la Maison de la Radio, elle en choisit une qu’elle diffuse immédiatement sur Twitter. L’exposition présente une trentaine d’èpreuves d’un esthétique et d’un rituel de passage matinal intimement liés à cette petite machine numérique qui nous est devenue un compagnon indispensable.

Vernissage le 12.4. de 18h à 21h. 

BEARBEITUNG DES WIRKLICHEN |group show

Berlin | 5. - 26.4.2014

with Myriam El Haïk, Axel Lieber, Thomas Lelu, Knut Eckstein, Francis Zeischegg, Adib Fricke, Benedikt Terwiel

Opening 5.4. from 7pm.

DRAWING ON |group show

Paris | 13.3. - 5.4.2014

avec des dessins de Anne-Flore Cabanis, Frédéric Galliano, Natalia Jaime-Cortez, Jochem Hendricks, Myriam El Haïk, Lucia Kempkes et Alberto Sorbelli

Vernissage le 13.3. de 18h à 21h.

THOMAS LELU |formes diverses

Paris | 11.1. - 15.2.2014

Vernissage le 11.1. de 18h à 21h.

EDITION Ä |zu Gast bei Vincenz Sala

Berlin | 17.1. - 1.2.2014

Eröffnung 17.1. um 20 Uhr.

ISIDORE HIBOU |Monuments nationaux

Paris | 19.10. - 14.11.2013

Pour l’exposition Monuments nationaux, Isidore Hibou a imaginé une série de photographies comme les reliques d’un ordinaire qu’on vit et qu’on ne voit plus. Le quotidien de la télé en veille, du dentifrice mal rebouché sur le rebord d’un lavabo, un détail qui fait sens, mais qu’on méprise un peu. De toute évidence, avant aujourd’hui, les événements ont toujours eu lieu ; on ne sait plus précisément lesquels.

Il y a certainement quelque chose de l’histoire : individuelle, collective, et forcément les deux. Il reste encore des rires derrière le papier tue-mouches ou le sac de litière, ou bien s’agit-il de drames. Mais le solennel cache toujours son visage. Quelque chose, en nous touchant, nous échappe invariablement. Il s’agit là de diasporas, de petits et grands départs, d’une certaine mise en scène du hasard. Elles font s’interroger, sourire, s’émouvoir : c’est l’affaire de tous, et les mues intimes d’une mémoire commune. C’est l’histoire d’un voisin, d’un vieil oncle, ou sa propre histoire... Toutes dépouillées qu’elles sont, il y a du monument dans ces images.

Leur origine elle-même (une sélection de photos extraites d’annonces immobilières) est une certaine fouille archéologique du présent. Mais les délimitations sont floues : l’absence n’est toujours qu’un moment tributaire d’une présence (passée ou à venir).

Vernissage le 19.10. de 18h à 21h.

HALEH REDJAIAN |same same but different

Berlin | 19.10. - 16.11.2013

Opening 19.10. from 7pm.

JOCHEM HENDRICKS |Luxus Avatar

Paris | 12.09. - 12.10.2013

Hendricks started the project ‘‘Luxus Avatar” in 2009. Using the dataset from a 3D scan of his entire body a complete life-size figure of him was milled from a Ureol block. This forms the basis for an ever-evolving oeuvre: a parallel existence to that of the artist is arising as a sculpture that is completely financed by tax-deducted operating expenses. Luxus Avatar is gradually being furnished with everything that a person needs to live, all the goods purchased are luxurious in terms of quality and price. The precondition is annual financial statements by the artist stating profits which are then reinvested in working materials used for new parts for the sculpture.

Vernissage le 12.09. de 18h à 21h.

CHRISTEL FETZER |WYSYHYG

(what you see you hope you get)

Berlin | 17.8. - 14.9.2013

Opening 17.8. from 7pm.

KNUT ECKSTEIN |vitrine d’été

Paris | du 20.07. pendant tout l’été 2013

Vernissage le 20.7. de 18h à 21h. 

MARC ROSSIGNOL |Le chant des âmes retrouvées

Paris | 27.6. - 6.7.2013

Marc Rossignol(°1954, Namur; vit et travaille à Bruxelles) est un autre fieffé amateur de brouillage de pistes. Lors d'une performance aux allures de rituel, il récitera un poème (Le chant des âmes retrouvées) de François Cheng, tout en traçant (des deux mains) des lignes entrelacées inspirées d'un dessin sur le sable du peuple Tchokwe. Soit la respiration d'un poème et le jaillissement d'un tracé, pour raconter des histoires de morts et d'esprits qui reviennent. Soit une énigme combinatoire (de formes et de langages entremêlés) qui - comme les entrelacs complexes de Léonard ou de Durer - permet de saisir d'un coup d'œil l'énergie qui anime l'univers. 

Sandra Caltagirone

Vernissage le 27.6. de 18h à 21h.

KNUT ECKSTEIN |'oblique lines and fractured light'

Berlin | 18.5. - 15.6.2013

Knut Eckstein builds models. However, it is never really clear what these models are. There are aesthetic leanings: towards facades, gaps between buildings, boundaries of all kinds, as well as exterior architectural situations. In the end, they seem to quote all that the flaneur notices if he pays attention during his travels in this world and is interested in the ‘rear landscapes’ of our society. Eckstein’s models are utopias of the everyday; they come from the everyday and disappear into it again. They appear like fictional notations, constructed from cardboard, various adhesive tapes, wooden battens, neon lamps, the usual industrial materials. It always sounds so easy, but Ecksteins’s works offer projection screens; above all, because they programmatically withdraw from reality and simultaneously start from an actual, existing moment. This makes them fundamentally ambiguous in their attitude, for they remind one of something that they never really are. They are in a permanent condition of possibility. Can one explain it that way? Perhaps, for if we speak of a condition, we do not mean a selective but an atmospheric space, a space in which ambivalent perceptions have a place. In this terrain the optional qualities of KE’s works play a major role; and because this is so, or at least appears to be so, everything remains in limbo. (...)

Dorothea Strauss

Opening 18.5. from 7pm.

FRANZ JYRCH | bonheur

Paris | 16.5 au 15.6.2013

L’économie plastique mise en jeu par Franziska Jyrch font de ces installations des agencements fragiles qui se jouent de l’échelle dans leur modalité d’occupation de l’espace et dans leur rapport aux objets placés en posture insolite, sans mise en valeur particulière. Ils sont simplement là, identifiables mais cependant, leur présence dans ces installations génère une tension qui génère à son tour une image. “Les choses sont encore ce qu’elles sont mais simultanément deviennent autre chose” fait remarquer Franziska Jyrch.

En effet, dans ce moment de tension qui correspond au moment de la formation de l’image, ces objets ordinaires revêtent une autre dimension, une certaine étrangeté. On ne peut pas les regarder de la même façon. Ils s’entourent d’un certain mystère car ils se situent, ainsi que le souligne l’artiste “entre abstraction, représentation, image en devenir et simple chose banale”. Autrement dit, ils se retirent dans une autre dimension spatiale qui modifie la perception que nous avons de ces objets. Notre regard se concentre sur eux, les isole et c’estdans ce mouvement d’attention portée sur eux qu’ils font “image”.

Amelie Pironneau

Vernissage le 16.5. de 18h à 21h.

BARBARA WILLE | White Balance

Berlin | 14.4. - 15.5.2013

Fotointarsien von Barbara Wille

White Balance ist das, was man am Photoapparat einstellt, wenn man möchte, dass eine weiße Wand auf dem Foto auch weiß erscheint. Denn das tut sie meist mitnichten. Die weiße Wand nimmt alles in sich auf, was um sie herum vorhanden ist. Das Wetter, einen roten Pullover, eine gelb gestricheneHauswand auf der Straßenseite gegenüber. Die weiße Wand ist eine Konvention des Zeigens und als solche ein wesentliches Motiv in Barbara Willes Fotointarsien. Fotografien der weißen Wand werden mit der stark gemaserten Oberfläche von Palettenholz kombiniert und ins Bild gesetzt. Dort nehmen sie den Platz zuvor fotografierter Modelle ein. Die maßstäblich verkleinerten Palettenmodelle wurden vor der weißen Atelierwand der Künstlerin installiert und fotografiert. Die Geste des Ausstellens wird somit motivisch bereits vorweggenommen. Je nach Tageslicht und Materialität der Modelle, und je nachdem, was sich sonst noch im Raum befindet, erscheint die Wand auf den Fotografien als atmosphärisches, lebendig strukturiertes Weiß, auf das die Modelle farblich differenzierte, vielgestaltige Schatten werfen. In diesen Schatten ist alles enthalten, was vom Raum und seinen Dingen widerscheint. Barbara Willes Fotointarsien entstammen somit zum Teil bereits der Sphäre des Bildes. Durch die Kombination fotografischer Oberflächen mit realen Objekten entsteht ein tautologisches Konstrukt, das der Wahrnehmung eine Art Hyperrealismus bietet: das Holz der Palette erscheint äußerst scharf und brillant wiedergegeben. Die unterschiedliche Maßstäblichkeit und das Verhältnis von Bildlicht und Raumlicht zur Plastizität des scheinbar Abgebildeten eröffnen überraschende Sichtweisen. Das Ding wird zu dem, was es zeigt: ein an einer Wand montiertes, palettenartiges Konstrukt. Und wiewohl man sofort die Natur des Machwerks durchschaut, begehrt man, sich der Täuschung erneut hinzugeben. Ein Trompe l´oeil der Fotografie.

NATALIA JAIME-CORTEZ | pli

Paris | 25.4. - 4.5.2013 

Performances on 25, 26 and 27 April

With the show and the performances of Natalia Jaime-Cortez the gallery continues the presentation of a series of artists pursuing both and in a combined fashion drawing and performance. After Anne-Flore Cabanis in March 2013 and the last presentation of Myriam El Haïk at Drawing Now in April 2013 it’s now Natalia Jaime-Cortez’ turn. What’s cutting across these three otherwise very different artistic positions is a practice of drawing that crucially engages the body and is in itself action of the artist’s in time and space. Less ephemeral but eventually belonging to the same family it is not surprising that this practice of drawing leads and goes back to the performance as an artistic expression that has been moving up the agenda again over recent years. 

The gallery will pursue this programatic line and Marc Rossignol from Brussels is the next artist performing and showing his work in June 2013. 

Vernissage le 25.4 de 18h à 21h.

ANNE-FLORE CABANIS | SUM ou la mise en 

mouvement de la pensée

Paris | 9.3. au 13.4.2013


L’exposition d’Anne-Flore Cabanis à la galerie Vincenz Sala s’articule selon quatre propositions artistiques qui font intervenir le dessin, la vidéo, l’installation et la performance, quatre pratiques solidaires et complémentaires au moyen desquelles elle questionne la matière de l’art, le rôle de l’artiste et la réception par le spectateur.

Considérant que ces questions font appel à des notions figées, d’un côté, l’œuvre achevée et, face à elle, le spectateur plus ou moins passif, Anne-Flore Cabanis a conçu l’exposition de manière à créer un mouvement qui instaure une relation vivante entre l’œuvre, l’artiste et le spectateur. Il s’agit pour cela, de ne pas dissocier ce dernier de ce que l’artiste donne à voir et d’articuler, par conséquent, le temps de l’œuvre, le temps de voir et le lieu d’exposition.

SUM, ou la mise en mouvementde la penséequi se déplace de l’œuvre au spectateur dans l’unité et le lieu mis en place par l’artiste.

Vernissage le 9.3. de 18h à 21h.

BENEDIKT TERWIEL | trace elements

Berlin | 23.2. - 23.3.2013

The work of Benedikt Terwiel is filled with graphs, maps, templates, and measurements, all of which demonstrate an interest in analytic and scientific methods of organizing and representing the visual world, specifically how we as individuals move in space and react to our specific surroundings. This method of organizing information is visually reductive but conceptually expansive, in that it offers the viewer the possibility of thinking about space—a landscape, a room, a city, and so on—in a manner that is not tied to any specific narrative (although surely, narratives are always present, if surreptitiously). In his most recent body of work Terwiel coats various domestic objects—for example, a kitchen cabinet, a countertop, or a table—with a layer of carbon dust and then transfers all traces of human interaction with this object onto paper, in what is a very meticulous process that visualizes (albeit in a hi ghly abstract form) the choreography of a domestic situation. For this exhibition, he will produce a sites-specific work in the gallery based on this method.

Opening 23.2. from 7pm.

CHRISTIANE SEIFFERT | double

Paris | 10.1. - 16.2.2013

Christiane Seiffert is a Berlin artist and the first and most obvious thing to say about her work is that it’s really funny. And a lot more. Seiffert works in the tradition of living images and it’s just herself - with the help of a surprisingly versatile stock of accessories - impersonating found images, often photos of houses or street scenes, also flowers and other striking or not so striking photos and postcards. A strictly hilarious undertaking of understanding by animating the world with all we have - ourselves. As we know metaphor, in this case the metaphoric qualities of what is called ‘Witz‘ in German (which eventually is not that far from the English ‘wit’), is perhaps the most powerful intellectual tool to make this world meaningful - and by times just really funny.

Vernissage le 10.1. de 18h à 21h.

ULLA HAHN | stunt

Paris | 10.1. - 16.2.2013

It’s not just the format. Ulla Hahn, as Christiane Seiffert, has been working with postcards for many many years. The liberties of Hahn’s painting them over are not that unsimilar from those Seiffert’s ‘doubles’ are taking. However, the respective trajectories are too different to insist upon some forced curatorial context. But we could try: Hahn draws us into an iconography that reappropriates the themes and grand gestures of the old masters, which Seiffert’s irony alludes to by rejecting them. The dramatic and most classical themes as for instance Lucretia’s suicide are reinvigorated by Hahn and drawn upon for tales on the psychopathology of (modern) everyday life. Seiffert’s double of a postcard of the Lucretia, if there were any, would have done close to the same thing. But painting is a different story. Hahn’s postcard-sized miniatures dare all the beautiful delicacy we would have thought impossible already 20 years ago. Watch them.

Vernissage le 10.1. de 18h à 21h.

MYRIAM EL HAIK | still working ... 

Paris| performance 13. to 15.12. at 7pm and 8pm 

show from 13. to 22.12. 

Du dessin qui reprend les disciplines corporelles de l'apprentissage, de l'écriture à la danse/performance où il est question de réapprendre son propre corps et sa propre marche. Voila le large spectre d'un bref passage de Myriam El Haïk à la Galerie Vincenz Sala. 

Etre habité par une langue et lui résister. Comment, en décomposer le processus de pensée qu’elle inflige? Oublier et se remémorer en même temps: tenter de laisser agir (être) ce qui précède le langage et les connexions enfermées dans une logique de sens. S’approprier son corps, partant de ce qui nous est donné comme système, comme structure indélébile. Aller chercher dans le corps marqué par une culture, ce qui précède la violence de l’écriture et de l’image. Réapprendre à marcher. Chercher à habiter la forme abandonnée d’un corps immobile pour de nouveau se mouvoir, être debout et marcher, tout simplement. 

Depuis la dernière exposition de Myriam El Haïk à la galerie, en novembre 2011, son champ d'action s'est bien élargi. La danse-performance, mais aussi l'installation-video s'ajoutent à ses créations et on ne s'étonne pas du retour à la composition musicale. Pourtant, sa démarche et le sujet restent parfaitement cohérents.

Vernissage le 13.12. de 18h à 21h.

GILLES RAYNALDY | photos

Paris | 11.11. - 8.12.2012

La photo c'est d'abord du papier. Ce n'est surement pas la vérité 24 fois par seconde et encore moins la réalité. On le sait bien, l'instant arrêté dans la photo n'existe qu'en photo. Jamais cet instant n'avait été visible à quiconque. Et c’est en arrêtant violemment la réalité que la photographie arrive à l’image, l’image qui ne peut que prétendre vérité.

Gilles Raynaldy prend ses photos quand la réalité s‘arrête et non pas pour arrêter la réalité. Moins étonnant pour ses natures mortes, ses photos d'architecture et d'intérieurs presque toujours sans âmes qui vivent mais pourtant bien vivantes. Mais aussi en face de ses portraits et peut-être encore d'avantage on a cette impression d'être devant un présent qui va reprendre à tout instant. On voit bien la photo, le focus sur le visage et le reste dans un flou délicat. On voit ce tirage exquis en blanc et noir. Pas de prétention d’être autre chose qu'une photo bien travaillée. Et pourtant une représentation qui résiste à la violence de l’image. Encore différemment pour ses photos d'ouvriers. C’est bien des corps en action sur leurs chantiers et à leurs rythmes mais comme suspendus dans un moment d’équilibre de la chorégraphie de leur métier. Des photos qui pourraient faire penser aux images d’August Sander seulement sans aucune utopie sociale. 

C'est que Gilles ne fait pas d'images mais des photos qui ramènent à la réalité qui est tellement difficile à saisir. Elles n'insistent pas sur son regard mais font appel au regard du spectateur. Gilles est trop observateur pour prétendre cette vérité toujours forcée de l'image, et trop honnête pour prétendre objectivé et absence. Il est bien présent dans cette photographie méticuleuse, même scrupuleuse. Peu importe qu'il s'agisse d'architecture, d'intérieurs ou de portraits, c'est une photographie qui s'engage à tout prix et avec un respect pour ses sujets trop investi et soucieux pour ne pas être par moment anxieux. 

Vernissage le 11.11. de 18h à 21h.

GEORG ZEY

Berlin | 1.11. - 24.11.2012

Georg Zeys Skulpturen und Objekte beziehen Bekanntes mit trockenem Humor in einen abstrakten Zusammenhang. Sie setzen den Rahmen für einen Sinn, den ihnen allein der Betrachter zu geben vermag. Ebenso konstruiert wie zufällig, sind sie gleichzeitig streng und verspielt. Autos werden zu Faltobjekten, Landschaften unleserlich, Unordnung verkehrt sich in Ordnung und Ordnung wiederum in Unordnung, was organisch daher kommt ist künstlich, was schwer scheint ist in Wahrheit federleicht oder eben genau anders herum, dann wieder ist das, was man von Weitem noch so gut erkannt hat, von Nahem nicht mehr sich sichtbar. Immer geht es um den Blickwinkel, um Fülle und Detail. Die Kunst von Georg Zey hat etwas von einer Wundertüte. Nie weiß man, wonach man greift, nie ist man sich ihrer sicher. Deshalb wird sie auch bei längerer Betrachtung nicht langweilig. Gleichzeitig hält sie sich aber auch dezent zurück, springt einen nicht an, quatscht einen nicht manisch und selbstherrlich zu und behauptet erst gar nicht sich und die Welt besser zu verstehen, als man zum Beispiel sich selbst und die Welt versteht und das macht das Leben mit ihr sehr angenehm.(…)

Auszug aus einem Text von Jan Peter Bremer, 2012

Eröffnung am 1.11. ab 19 Uhr

PETER WÜTHRICH | les mots et les choses

Paris | 8.9. - 10.10.2012

Foucault didn't like the title. He would have preferred "L'ordre des choses" and was pleased that his German editor agreed. "Die Ordnung der Dinge" was the title of the German edition. But words do play a key role in Foucault's book and thinking. The order of things is in the way they are known and referred to. It's in the words, and it's a precarious order. Peter Wüthrich reads a lot. Books are his thing. They are his raw material and since many years his work has been with and about books. Obviously also about what they say, the story they tell. Which is about words and the precariously contingent of their trying and retrying to get to the order of things. Eventually it's the things and what we know about them that refer to the words. Words become like names, and their link to the things becomes as complex as that between a friend and the name, by which we call and recall him. In the foreword of "Les mots et les choses" Foucault goes back to a text of Borges, where he quotes a rather peculiar and indeed funny classification of animals in a certain Chinese encyclopaedia - and he goes back tothat famous encounter between an umbrella and a sewing machine on a dissecting table. Wüthrich's work adopts the surrealist syntax of such encounters, which on dissecting tables can't help suggesting some form of peculiar classification. Perhaps not as funny as the one Borges quotes but as much questioning and perhaps also belittling that idea of getting to the order of things.Wüthrich's workisnot about that order, it's about words that are like friends' names. Just reference is not what counts, it's instead about how names help link to and befriend things. "Die Wahrheit über meine Freunde", the truth about my friends, was the title of an installation Wüthrich did in 2005. Luckily and inevitably a truth that is always on the run. But there is a lot of truth in that running.  

Vernissage le 8.9. de 18h à 21h.

GROUP SHOW|only a part of

Berlin | 13.9. - 29.9.2012

In parallel to our participation in preview Berlin we are showing a selection of works of the gallery’s artists at our Berlin space. An excellent opportunity to get an overview of the gallery’s program.

Opening 13.9. from 6pm. 

FRITZ BALTHAUS | parisienne verte

Paris | 16.6. - 26.7.2012

Experimenten ähnlich, entfalten sich die Arbeiten von Fritz Balthaus als Reflektionen ihres Entstehungsprozesses und ihrer Ausstellungsumgebungen. So befassen sich seine Arbeiten immer auch mit den Routinen der Kunstselbst. Der Künstler bedient sich der vorgefundenen Situationen und Räumlichkeiten - thematisiert deren Bedingungen und Wirkungsmächte als sichtbare Kunstwerke. Kontext und Selbstreferenz heißt bei diesem Künstler auch sich und andereumgebungsbewußt einzubeziehen. Für die Ausstellung von Fritz Balthaus bei Vincenz Sala heißt das auch, die unterschiedlichen Umgebungssituation und Sphären der Galerie und deren Besuchenden aktiv einzubeziehen. Fritz Balthaus richtet einenumgebungsabhängigen Lichtraum ein, lädt vorgefundenen Galerieinterieurs ein, selbst Teil eines Kunstwerk zu werden und hebt die Grenze zwischen Interieur und Exterieur auf.

Marina Zynkdach

Vernissage le 16.6. de 18h à 21h. 

Interview with Fritz Balthaus

Tilo Riedel | mein Birkenstock Powerdresser abknöpfen

Paris | 5.5. - 2.6.2012

Tilo Riedel is railing. That has little to do with the fact that for most of his life as a visual artist Riedel went by and large unnoticed (his bio is telling). Whatever the reason, a few years ago language came into his work and immediately in the form of railing, cursing, and swearing, sometimes close to coprolalia (that well-known but rather rare symptom of the not so rare Tourette’s syndrome). Sigmar Polke’s painted ‘Schimpftuch’ springs to mind, but Riedel's undertaking goes much further. For quite a few years now he has been exploring the aesthetics of this railing, and that is not just about the intriguing poetic qualities of his railing chants. The chants are written down. On tape glued to a kitchen cupbord, or with a black marker on the paper bag of some bio shop, or they are typed on some left over piece of paper. Materials are crucial and over time the aesthetics of this railing took over, invaded an expanding work across different media mostly with found objects and images. It’s eventually the angry speed of this compulsive railing that gets to some sculptural truth about the dark sides of these poor materials. An arte povera, often funny, always very unsettling, and the soft-spoken Riedel turns out to be the master of railing. Railing that however remains what it is: an extremely vital way of relating to today's reality, well parts thereof.

Vernissage le 5.5. de 18h à 21h.

Barbara Steppe

Berlin | 5.5. - 9.6.2012

Eröffnung am 5.5. ab 18 Uhr.

Hans Hemmert | gowiththeflow

Paris | 10.3. - 7.4.2012

It’s not the first time in post-war history that Germany exports balloons. This time around a little more than 99 and Hans Hemmert’s balloons are a little more belligerent. A German “Haubitze” is back in Paris. But will not leave the gallery room. And even if it did it couldn’t do much harm. Hemmert got international acclaim for his yellow bigger than life balloons. He lived and worked (and drove a car) in some of them. More recently, and in a smaller than life dimension the ballon’s invasive tendencies became a little more explicit, surely friendly but intriguing, and turned into a firm concrete grip. Not that much more to say on the iconographic program. But much more to see - in Berlin the other part of Vincenz Sala’s first double act (below). 

Vernissage le 10.3. de 18h à 21h.

Hans Hemmert | Berlin

Berlin | 10.3. - 7.4.2012

Ein ‘double act’ am Pariser und Berliner Spielort der Galerie, in Berlin auch ein Ausstellungsexperiment: Das Kabinett in der Helmstedter Strasse präsentiert sich als Arbeits- und Atelierraum. Kleine Skulpturen und Skulpturversuche sind genauso zu sehen, wie fertige Zeichnungen. Ideenausrisse aus diversen Zeitschriften und Textmaterial ergänzen Versuche, Arbeiten, die nicht zum Ende kamen, aber Einblick geben in Hemmerts Arbeitsweise und Ideenwelt. Hemmerts Spiel und Ernst haben in Paris zum Punkt gefunden. Und die Spielorte sind verschaltet. Wie Hemmerts Pariser Haubitze aus bunten Luftballons im Verlauf der Ausstellung die Luft ausgeht, kann man per Standleitung auf dem Monitor verfolgen. Nach 4 Wochen bleibt ein Häufchen bunten Elends.

Eröffnung am 10.3. ab 19 Uhr.

Thomas Lélu | It could be worse

Paris | 28.1. - 25.2.2012

Almost borderless territory. The in and out of Thomas Lélu’s aesthetic world is easy. Both ways hardly any controls - apparently. And putting aside concerns about the connotations, it’s tempting to speak of aesthetic bulimics. His work is more about linking than digesting, more on the receiving, the consumption end of the story. He doesn’t do a lot and most of his work never gets beyond the stage of a quick entry into a notebook. But he does it all the time. It’s his notebooks where the extensive use of language starts and comes from. A kind of language that survives the abundance of images. No need for much grammar, just in the face. By times Lélu slows down a bit. And that’s when these beautiful, almost intimate series like the one with the cut out postcards or the over painted nudes happen (both are on show). Which is not to say that this part of his work is any less conceptual than the rest (which in turn is not that conceptual either). It just reveals that eventually Lélu is a drawer, and the Lucky Luke type - drawing faster than his shadow. 

Vernissage le 28.1. de 18h à 21h.

Lucia Kempkes

Berlin | 7.1. - 28.1.2012 

Eröffnung am 7.1. ab 19 Uhr. 

Axel Lieber | Pari

Paris | 3.12.2011 - 7.1.2012

There are a number of facets to Axel Lieber's sculptural work. Domestication, the conquest of this threatening world of day-to-day objects could be seen as one of the key threads. His cutting back (or out), blowing up, reformatting of objects to a new artistic size and order seems to be driven by a quest for not just intellectual command. Though, unsurprisingly also objects have their will and it is eventually Lieber’s attempt at their domestication that helps unchain this will. The objects (and not just those he reworked) return strangely animated and with a disturbing potential for causing not just amusing discomfort. 

Vernissage le 3.12. de 18h à 21h.

Myriam El Haïk | Cahiers de punition

Paris | 22.10. - 19.11.2011

Myriam El Haïk is a French-Moroccan artist, composer, and musician. Her more recent work explores repetitive writing. She uses colored felt-tip pens on paper, in her ‘cahiers de punition’, or directly on the wall.Simple signs that vaguely but explicitly refer to Arabic letters are lined up, right to left, top down. Monochromatic or superposed in layers of different colors the lined up signs create rhythmic fields. The signs tend to slip or shift a little, they become smaller, the intervals bigger, and broader rhythmic structures emerge between the superposed layers. Myriam El Haïk’s work is at the crossroad of minimalist drawing, performance, and polyrhythmic music. We’re back to the act of writing as a physical discipline that engages, informs and in its obsessive repetitiveness even forces the body. The results are of striking beauty.

Vernissage le 22.10. de 18h à 21h.

Christiane Seiffert | Imitation und Gespenster

Berlin | 29.10. - 26.11.

Christiane Seiffert is a Berlin artist and the first and most obvious thing to say about her work is that it’s really funny. And a lot more. Seiffert works in the tradition of living images and it’s just herself - with the help of a surprisingly versatile stock of accessories - impersonating found images, often photos of houses or street scenes, also flowers and other striking or not so striking photos and postcards. A strictly hilarious undertaking of understanding by animating the world with all we have - ourselves. As we know metaphor, in this case the metaphoric qualities of what is called ‘Witz‘ in German (which eventually is not that far from the English ‘wit’), is perhaps the most powerful intellectual tool to make this world meaningful - and by times just really funny. 

Opening 29.10. from 7pm.

Tine Steen

Paris | 10.9. - 8.10.2011

Tine Steen is a Berlin artist with an intriguing approach to portraiture. Her work across different media and a broad range of materials evolves around an intimate exploration of the character of her models, all of whom are people close to her.She focuses on identifying and transcribing as closely as possible the essence of their personality within a narrative and descriptive space.

Vernissage le 10.9. de 18h à 21h.

Franz Jyrch|La Pittura


Berlin | 10.9. - 8.10.2011


Franziska Jyrch is an artist from Leipzig. Her work stretches across different media incl. installations, video and painting. With minimalistic interventions Jyrch leaves the two-dimensional image behind. Canvas and frame stretcher are no longer just picture carriers. They become spatial installations by rolling, cutting, folding and by the application of everyday items. By experimenting with both traditional and unorthodox materials Franziska Jyrch extends the formal and conceptual potential of painting and installation.


Opening 10.9. from 7pm.

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